Pour un directeur financier qui n’est pas à Paris, c’est une évidence de faire le déplacement pour Financium ?
Tout à fait ! Avoir sur deux jours un concentré de l’actualité, des bonnes pratiques et des enjeux pour nos métiers financiers, c’est une denrée rare aujourd’hui. Que l’on soit à Paris ou en région, dégager ce temps dans son agenda a un retour sur investissement forcément positif. Au-delà du contenu lui-même, venir à Financium permet de nouer des contacts avec l’ensemble de la communauté financière, partager ses difficultés et ses solutions. On se sent moins seul. C’est inestimable de ce point de vue.
Parmi les thèmes proposés, quels sont ceux qui parlent le plus à votre quotidien ?
La question du financement est essentielle. La DFCG est très active sur ce sujet. Nous avons eu l’occasion d’en parler beaucoup, en région notamment, et, à titre personnel, je suis intervenu sur ce sujet lors d’une conférence avec l’Agefi. La situation est paradoxale : les banques disent prêter largement et rarement refuser des crédits… mais les directeurs financiers, sur le terrain, ont des vrais enjeux de trésorerie. La question des compléments au financement bancaire (affacturage, reverse factoring ou autres) est clairement posée pour nous. Concernant les autres sujets, le lien avec les opérationnels est fondamental pour « faire équipe » et gagner des marchés. |